ADDICTION
La PxL-Lan lutte contre l’addiction aux jeux vidéo
Selon une étude de REC+ de l’institut GFK publiée le 5 décembre 2012 les français jouent aux jeux vidéo 12 heures et 17 minutes par semaine, soit 1h45 de plus que l’année précédente.
Les sondés indiquent que 40% du temps consacré aux jeux vidéo le sont depuis l’ordinateur, 21% depuis une console de jeu de salon, 15% depuis une tablette et 9% depuis un smartphone.
En France, souvent quand il est fait allusion aux joueurs qui passent de longues heures sur leur ordinateur, les non initiés ont tendance à parler d’addiction.
Un terme fort qui suggère que les joueurs sont « accros » à leur jeu comme un alcoolique à son verre.
Un cliché auquel Joëlle Longhi, journaliste spécialisé dans les problématiques psychologiques des enfants a tordu le cou :
« Il n’y a pas d’addiction, simplement des passions. Ils ne sont qu’une minorité à tomber dedans, par faiblesse, mais ceux-là seraient tombés dans autre chose ».
La journaliste se base sur de nombreuses études internationales sérieuses.
« L’addiction suggère que l’on ingère un produit qui va altérer notre physique, ce qui n’est pas le cas avec le jeu. Car il n’est que le support d’une obsession ».
Si elle ne nie pas que certains ados trouvent « une échappatoire à leur souffrance » dans les mondes virtuels, elle rappelle que ce n’est qu’un symptôme et non pas la maladie.
« C’est aux parents de rester vigilants et de déceler quand leur enfant commence à ne plus avoir de relations extérieures ou des résultats scolaires en baisse. Mais déjà que l’ado est un extraterrestre il ne faut pas le diaboliser. S’il peut être efficace de rentrer dans l’affrontement parfois, il est parfois plus intéressant d’entrer en contact avec l’ado, de lui demander d’expliquer sa passion pour qu’il la régule de lui-même ».
Mais c’est Laura Casalini, directrice de l’école de création de jeux Supinfogame, qui donne le meilleur argument pour rassurer les parents :
« il est prouvé, le jeu développe la dextérité, l‘acuité visuelle et les reflexes. Certains joueurs en réseaux sont même sollicités par les entreprises pour leur capacité de gestion »
Le jeu vidéo est devenu un véritable phénomène de société que nous ne pouvons pas ignorer.
L’association PxL propose depuis prés de 9 ans plusieurs fois par an des weekends de compétition et de divertissements parfaitement structurés consacrés à ce loisir.
Ces rassemblements de jeunes sont l’occasion de montrer le jeu vidéo dans son coté pédagogique et non juste ludique. C’est un moyen de distraction comme un autre, mais comme toute activité il est nécessaire de limiter le temps qu’on y passe et l’argent qu’on y dépense.
Il s’agit de lutter contre l’addiction dont sont victimes certains jeunes.
Des discussions avec les adolescents et les parents permettent de définir l’addiction, de la détecter et de trouver les moyens de lutter contre.
Le staff de l’association PxL accompagné d’intervenants s’emploie à encadrer ces jeunes accros du jeu vidéo pour les aider à lutter contre cette dérive.
Comme nous avons coutume de le rappeler une vie saine et équilibré inclus le jeu vidéo comme un loisir que l’on pratique de façon raisonnable.
Pour finir sur une note positive :
L’addiction touche une faible partie des joueurs, 99% d’entres eux ont une vie saine et équilibrée.
Ils ont une vie normale, font des études, font du sport, ont un travail, une vie de couple, des amis.
Mais nous n’oublions pas les 1% qui sont en difficulté et nous sommes là pour les aider.
Le staff
Les sondés indiquent que 40% du temps consacré aux jeux vidéo le sont depuis l’ordinateur, 21% depuis une console de jeu de salon, 15% depuis une tablette et 9% depuis un smartphone.
En France, souvent quand il est fait allusion aux joueurs qui passent de longues heures sur leur ordinateur, les non initiés ont tendance à parler d’addiction.
Un terme fort qui suggère que les joueurs sont « accros » à leur jeu comme un alcoolique à son verre.
Un cliché auquel Joëlle Longhi, journaliste spécialisé dans les problématiques psychologiques des enfants a tordu le cou :
« Il n’y a pas d’addiction, simplement des passions. Ils ne sont qu’une minorité à tomber dedans, par faiblesse, mais ceux-là seraient tombés dans autre chose ».
La journaliste se base sur de nombreuses études internationales sérieuses.
« L’addiction suggère que l’on ingère un produit qui va altérer notre physique, ce qui n’est pas le cas avec le jeu. Car il n’est que le support d’une obsession ».
Si elle ne nie pas que certains ados trouvent « une échappatoire à leur souffrance » dans les mondes virtuels, elle rappelle que ce n’est qu’un symptôme et non pas la maladie.
« C’est aux parents de rester vigilants et de déceler quand leur enfant commence à ne plus avoir de relations extérieures ou des résultats scolaires en baisse. Mais déjà que l’ado est un extraterrestre il ne faut pas le diaboliser. S’il peut être efficace de rentrer dans l’affrontement parfois, il est parfois plus intéressant d’entrer en contact avec l’ado, de lui demander d’expliquer sa passion pour qu’il la régule de lui-même ».
Mais c’est Laura Casalini, directrice de l’école de création de jeux Supinfogame, qui donne le meilleur argument pour rassurer les parents :
« il est prouvé, le jeu développe la dextérité, l‘acuité visuelle et les reflexes. Certains joueurs en réseaux sont même sollicités par les entreprises pour leur capacité de gestion »
Le jeu vidéo est devenu un véritable phénomène de société que nous ne pouvons pas ignorer.
L’association PxL propose depuis prés de 9 ans plusieurs fois par an des weekends de compétition et de divertissements parfaitement structurés consacrés à ce loisir.
Ces rassemblements de jeunes sont l’occasion de montrer le jeu vidéo dans son coté pédagogique et non juste ludique. C’est un moyen de distraction comme un autre, mais comme toute activité il est nécessaire de limiter le temps qu’on y passe et l’argent qu’on y dépense.
Il s’agit de lutter contre l’addiction dont sont victimes certains jeunes.
Des discussions avec les adolescents et les parents permettent de définir l’addiction, de la détecter et de trouver les moyens de lutter contre.
Le staff de l’association PxL accompagné d’intervenants s’emploie à encadrer ces jeunes accros du jeu vidéo pour les aider à lutter contre cette dérive.
Comme nous avons coutume de le rappeler une vie saine et équilibré inclus le jeu vidéo comme un loisir que l’on pratique de façon raisonnable.
Pour finir sur une note positive :
L’addiction touche une faible partie des joueurs, 99% d’entres eux ont une vie saine et équilibrée.
Ils ont une vie normale, font des études, font du sport, ont un travail, une vie de couple, des amis.
Mais nous n’oublions pas les 1% qui sont en difficulté et nous sommes là pour les aider.
Le staff