Dangers et dérives des réseaux sociaux
La PxL-Lan lutte contre les dangers des réseaux sociaux
Concours Jeunes Créateurs "Dangers et dérives des réseaux sociaux" avec l'IUT d'Arles :
Nous avons travaillé en collaboration avec les élèves de l'IUT d'Arles pour réaliser des affiches sur le thème des dangers et dérives des réseaux sociaux.
Nous avons reçu de nombreuses propositions que vous trouverez ci-dessous
Un jury composé d'une vingtaine d'élus dont Monsieur Patrick CHAUVIN et Monsieur Marc CHABAUD, ont voté samedi 17 Octobre 2015 pour élire la meilleur affiche.
L'Affiche numéro 17 a remporté le concours :
l'Affiche numéro 22 termine seconde :
Nous tenons à remercier à nouveau Messieurs Lionel MALNIS et Michel NAVARRO du Crédit Mutuel, banque mutualiste solide, non cotée en bourse, qui appartient à ses sociétaires-clients et régulièrement récompensée d'avoir pu offrir de magnifiques dotations aux participants du concours !
Affiche numéro 1 réalisée par Fanny Ould Said - Marion Pasquet
Descriptions : ICI
Affiche numéro 2 réalisée par Antoine EL ODDI
Descriptions : Le fond d'écran représentant une jeune femme recroquevillée dans une pièce vide avec un très fin rayon de lumière permet d'accentuer une impression globalité.
Comme si la vie de la jeune femme se résumait à cette unique pièce.
Sa position quasi-fœtale évoque l'idée de peur, de tristesse et de recul.
À gauche de l'affiche se superpose un commentaire de Tumblr, Google+, Twitter et Facebook, des réseaux sociaux très répandus dans la toile d'Internet.
Chacun des commentaires insultent la jeune femme, avec froideur et cruauté. Ils la blessent, faisant ressortir des émotions pures et mauvaises.
Ainsi, en rouge et à droite des commentaires aberrants, la Peine, la Solitude, la Colère et la Douleur de la jeune femme saignent, comme arrachées d'elle, d'où l'écriture rouge.
Finalement, ses émotions se cumulent, se mélangent, pour donner naissance à une solution cachée dans la pénombre, d'où l'emplacement à droite sous la fenêtre et l'écriture noire, le Suicide.
Tout ceci fait référence aux nombreux cas de suicides sur le net, dû à des personnes qui, grâce à l'anonymat fourni par Internet, ont décidés d'insulter, et même de harceler plusieurs jeunes adolescents, des enfants, des parents, des professeurs ; et bien pire encore ; des handicapés.
Affiche numéro 3 réalisée par Lise BESSIERE, Lila GAZEAU, Tim LACOUR
Descriptions : A travers cette affiche, on a voulu représenter le vol de données et surtout la masse d’information que les jeunes mettent sur les réseaux sociaux. Permettant ainsi aux personnes mal intentionnées d’avoir accès à notre vie privée et à des informations beaucoup trop personnelles.
Nous avons voulu représenter un danger moins évoqué que le harcèlement sur les réseaux sociaux dans cette affiche, nous nous sommes donc concentrés sur le vol de données, qui peut s’avérer bien pire que du harcèlement. De nos jours, les gens ne font plus attention à ce qu’ils postent sur les réseaux sociaux (Adresse, date de naissance…) le but est donc de sensibiliser et de faire réfléchir les gens.
L’intrusion dans la vie privée et la diffusion de donnée sensible qui ne devrait pas sortir de l’entourage proche est un fléau particulièrement invisible. En effet, puisque nos données sont prises à notre insu, on ne les contrôle pas et quiconque ayant accès à ces données là peuvent s’en servir pour nous faire du mal.
On voit sur la photographie une jeune femme qui pense vivre en sécurité. Pourtant, les données portant sur elle qui ont filtrées sur le web par les réseaux sociaux permettent à un total inconnu d’être juste là, derrière elle, capable d’utiliser ces données à mauvais escient. Il y a comme un lien entre les deux protagonistes.
L’inconnu connaît la jeune femme comme s’il l’a connaissait, il peut peutêtre même lui prendre son identité… L’image laisse au lecteur de cette image la possibilité d’envisager tout un tas d’hypothèse quand à l’utilisation des données, de façon négative (en partie à cause de l’impression d’être surveillé à son insu que les photos dégagent)
Nous avons pris une photographie qui a pour but de montrer que quelqu’un même loin d’une personne, grâce à la quantité d’informations qu’elle peut laisser paraître sur internet suffit à un inconnu pour être très proche d’elle.
Affiche numéro 4 réalisée par Laëtitia SUAU
Descriptions : Ces dernières années, l’apparition des réseaux sociaux comme Tweeter, Badou, Skype, et Facebook, a connu de véritables succès auprès des internautes ; à tel point que ces réseaux communautaires sont devenus une véritable drogue pour les jeunes.
En effet, ces réseaux sociaux ont créé une sorte de dépendance pour les jeunes et, à force de s’y connecter plusieurs heures tous les jours, certains d’entre eux sont devenus de véritables cyber-drogués.
Cette nouvelle forme de cyberdépendance ou addiction à Internet peut entraîner des conséquences néfastes, aussi bien sur leur santé que sur leur vie sociale ; sans compter la perte de temps considérable et le coût que ce phénomène engendre.
C’est pourquoi j’ai créé cette affiche dans le but de sensibiliser la population contre la cyberdépendance.
La seringue étant le symbole de la drogue. La souris, elle, est l’outil nécessaire pour surfer sur ces nombreux réseaux.
J’ai choisi une police plus « destroy » pour les symptômes afin d’attirer l’attention dessus.
« Ensemble, luttons contre la cyberdépendance ! »
Affiche numéro 5 réalisée par Bazine Jennane
Descriptions : Afin de sensibiliser les personnes sur les dérives que peuvent causer les réseaux sociaux, nous avons décidé de réaliser une affiche préventive sur les conséquences que peuvent causer l’ignorance des dangers des réseaux sociaux.
Nous avons donc mis à gauche plusieurs mots clé qui nous montrent à première vue les différents avantages de l’utilisation des réseaux sociaux comme « partage » « communauté » ou encore « amitié ».
Puis nous avons également intégré plusieurs photos de personnes formant un visage.
Ceci à pour signification que derrière notre écran nous pouvons être qui l’on veut (c’est la raison du choix de notre message sur l’affiche : « Tout le monde peut être n’importe qui, soyez prudent sur les réseaux sociaux »).
Ensuite, afin d’illustrer le coté plus sombre des réseaux sociaux, nous avons mis à droite différents mots clé qui illustre ces dangers : « hacking » « menaces » « harcèlements » etc.
A travers cette affiche, nous voulons informer que la plupart des jeunes ne se soucient pas de qui se trouvent derrière l’écran (ex : sur Facebook les amis de leurs amis sont leur amis, ou sur Twitter des robots se font passer pour des personnes normal afin de collecter des données sensible), hors ils courent de grands dangers.
Nous voulons donc alerter les adolescents ainsi que les parents à ce méfié d’avantage de la puissance de ses réseaux.
Affiche numéro 6 réalisée par Julien FOURCADE
Descriptions : Pour la création de cette affiche, j’ai eu l’idée de traiter deux droits qui me semblent fondamentaux mais qui sont très difficiles à garantir sur Internet, et plus particulièrement sur les réseaux sociaux : le respect de la vie privée et le droit à l’oubli.
Afin d’illustrer l’utopie que représente pour moi le respect de la vie privée sur Internet, j’ai détourné la célèbre maxime (présente sur les affiches de propagandes) du roman 1984 de George Orwell : « Big Brother is watching you » en « Big Data is watching you ».
Big data étant un terme technique qui fait référence à l'explosion du volume des données générées et stockées sur Internet.
J’ai choisi un fond uni gris, une typographie bleu foncé moderne et minimaliste sans empattement, afin de contraster avec le fond clair et focaliser le spectateur sur le texte, et plus particulièrement le « YOU » plus gros et en gras.
Pour ce qui concerne le droit à l’oubli, j’ai choisi de me servir de Snapchat. En effet, ce réseau social relativement récent fait un carton chez les jeunes : l'âge moyen des utilisateurs de Snapchat est 18 ans, contre 40 ans pour Facebook.
Le principe est simple : il permet d’envoyer des textos, photos et vidéos intimes ou délirantes en toute discrétion. En effet, tout ce qui est envoyé disparaît au bout de quelques secondes… En Théorie du moins !
J’ai décidé d’utiliser une photo (dont je suis l’auteur), cadrée dans une forme représentant le logo de Snapchat (un fantôme), et en utilisant les codes graphiques du réseau social : un bandeau noir contenant du texte (ici l’idée qu’Internet n’oublie rien), et un timer représentant le temps restant avant la suppression du message
(j’ai remplacé la durée par le symbole de l’infini, afin de renforcer le texte du bandeau et l’idée que le droit à l’oubli sur les réseaux sociaux n’existe quasiment pas).
D’un point de vu général, j’ai essayé d’utiliser un design moderne et en vogue actuellement (minimalisme, flat design et long shadow) afin d’attirer l’oeil des jeunes, cible principale de mon affiche de sensibilisation.
Affiche numéro 7 réalisée par Kevin Hippolyte – Tom Venet – Laurie Greinert
Descriptions : Nous avons créé une image qui répond au sujet des dangers et dérives des réseaux sociaux. Nous avons dès le début eu une idée commune qui était le fait que lorsque nous étions sur ces réseaux sociaux, nous étions surveillés.
Nous avons donc voulu représenter une personne qui était en train de naviguer sur un de ces sites et de mettre cette image sur un écran d’ordinateur d’une autre personne qui le surveille. Nous avons pris une copie d’écran d’une page d’un réseau social connu, Facebook. Nous avons mis par-dessus une photo de la personne qui était en train de regarder sa page en changeant l’opacité.
Puis nous avons ajouté des calques de sorte à ce que l’on ait l’impression que cette image est « surveillée » et nous l’avons ajouté à notre fond. En faisant cela nous avons voulu montrer que nous n’avons pas vraiment de vie privée, tout ce que l’on écrit sur internet peut être retrouvé par n’importe qui, et cela peut aller à notre encontre dans les années à venir.
C’est pour cela qu’il faut faire attention à ce que l’on dévoile car d’après les récentes polémiques nous sommes tout le temps surveillés.
Affiche numéro 8 réalisée par Lorène HUE
Descriptions : Les trois principaux réseaux sociaux sont ici représenter en trois personnages : Facebook au centre ayant la première place, Google + à gauche (3e place), et Twitter à Droite (2e place). Les recettes des réseaux sociaux sont générer grâce aux publicités, mais également grâce aux données des utilisateurs.
Plus le réseau social compte d’utilisateurs, plus celui-ci gagnera d’argent en revendant les données. Chaque utilisateur supplémentaire permet de gagner un peu plus d’argent. Lorsqu’une personne s’inscrit sur un réseau social, elle fournit obligatoire et gratuitement ses données personnelles : tel que ses goûts, son âge, et ce qu’elle est susceptible de consommer.
Nos trois personnages sont devant la représentation d’un futur proche et probable, ou ils auront entièrement conquis les populations.
Ce tableau est donc la représentation d’un riche futur pour les réseaux sociaux. Ou tout le monde possèdera un ou plusieurs comptes sur un/ou plusieurs réseaux sociaux. Et où chaque heure du quotidien sera sur ces sites. Même en pleine rue.
Le tableau représentant le futur est divisé en deux grandes parties. Le premier plan, et les décors derrière. Le tout en pixel art 2D.
La foule est ici obnubiler par l’écran géant installé sur une façade vitrée. Ils parlent et commentent ce qu’il se passe sur l’écran. Ils ne voient pas ce qu’il se déroule autour d’eux, et sont totalement accros. L’une des bulles de pensées est vide, pour représenter le fait qu’ils agissent sans réfléchir. Certains disent qu’ils aiment, et d’autres « Like » ce qu’il se déroule devant leurs yeux sur l’écran.
L’écran est branché en plein cœur de la ville, et permet à la foule de consulté les informations du réseau social. Ils peuvent voir les derniers messages mit en ligne, ainsi qu’une publicité pour Twitter, Youtube (qui appartient à Google) et Facebook.
Sur les immeubles derrière l’écran géant, des méga-bannières de publicités pour l’application Snapchat et un nouvel Iphone d’Apple sont présentes, et renforcent la présence des réseaux sociaux, et de la technologie dans le quotidien.
Affiche numéro 9 réalisée par Florentine LAMAIRE - Lucie IKHENNICHEU
Descriptions : Aujourd’hui de nombreuses personnes gâchent des temps précieux sur les réseaux sociaux.
Certes, ils permettent de rester connecté avec vos amis, avec ceux que vous aimez, de partager des images, des coups de coeurs, et cela en permanence, mais ils peuvent facilement devenir un obstacle à la vie.
A travers cette affiche, nous avons voulu représenter les conséquences sociales que peuvent provoquer les réseaux sociaux, car en passant trop de temps dessus, on se retrouve à négliger la réalité.
L’image des deux personnages est symbolique et illustre un moment qui peut paraître anodin, se balader en se tenant la main, mais qui se retrouve gâché par les réseaux sociaux, qui ne laissent aucun répit à ses utilisateurs fréquents, à cause des alertes, des messages, notifications.
On a de plus en plus de mal à prendre conscience que la réalité n’est pas virtuelle. On se laisse facilement subjuguer par nos écrans, et à cause de l’évolution et la banalisation des technologies, on en oublie de profiter des moments de réel bonheur qui s’offrent à nous.
Les personnes naviguent sur les réseaux sociaux pour se sentir connecter avec d’autres, mais au final elles ne le sont plus avec leur entourage.
Les réseaux sociaux sont à parcourir avec modération.
Affiche numéro 10 réalisée par Logan PETIT – William SOURIMANT – Alexia LEGROS
Descriptions : Nous avons choisi d’illustrer ce thème avec une représentation intemporelle : celui de l’inconnu qui surveille les actions de l’internaute.
Nous avons choisi plusieurs moyens de représentation pour cette affiche, se déclinant en quatre cas de figure : celui de l’utilisation des réseaux sociaux sur tablette, téléphone, ordinateur de bureau et portable.
Nous avons également représenté des internautes féminins et masculins dans un souci d’équité. Les silhouettes sont simplistes, et évoquent le fait que tout le monde peut être concerné par les dangers des réseaux sociaux de nos jours.
Affiche numéro 11 réalisée par Sandro NARDINI
Descriptions : Le but de cette affiche était de sensibiliser les gens aux jeux vidéo. Je n’avais pas trop d’idée a la base alors moi-même étant un joueur numérique, j’ai écouté beaucoup d’histoire de mon entourage de personne complètement dépendant de ce jeux.
Cette dépendance peut se traduire en 2 sortes de suite pour ces joueurs. La première et qu’ils sont aspiré par la frénésie du jeu et ne veulent plus s’arrêter dans le but, surement, de ressentir un besoin d’accomplissement personnel.
La seconde nécessite toujours cette frénésie mais auquel s’ajoute un don qui permettra à ce joueur de pouvoir explosé dans son domaine et devenir un joueur professionnel rémunéré.
Attention, cela n’arrives qu’avec beaucoup d’entrainements... Mais un jeu n’est pas forcément joué pour être le meilleur mais pour se divertir.
Bien entendu le jeu vidéo reste une source de divertissement intergénérationnelle. On peut y jouer sans faire forcement de compétition mais le plus dure c’est de na pas tombé dans cette spirale infernale qui vous fera perdre vos nerf un après l’autre.
Affiche numéro 12 réalisée par Portal - Jury
Descriptions : Pour répondre au sujet qui nous était imposé: «montrer les dangers des réseaux sociaux»,nous avons choisi de traiter de l'addiction à ces mêmes réseaux et par extension au téléphone portable.
Pour cela nous avons décidé de montré la main d'un homme enchaîne à son smartphone sur lequel on peut voir les logos des réseaux sociaux les plus connus.
C'était selon nous la meilleure façon de dénoncer l'emprise des réseaux sociaux sur la vie des gens et des jeunes en particulier.
Affiche numéro 13 réalisée par Robin AUDRAS
Descriptions : Pour le thème « danger et dérive des réseaux sociaux », j’ai choisis d’illustrer une route sans fin. En rajoutant des panneaux de sens unique et de voie sans issues, je voulais mettre en avant le fait que les réseaux sociaux sont une aventure à sens unique.
De plus nous pouvons voir que le fond du paysage est en noir et blanc, pour donner une image fade, triste, voire dangereuse que peut avoir les réseaux sociaux. C’est pourquoi une personne qui essaye d’en revenir est elle aussi devenue noire et blanche à l’image de ces réseaux sociaux.
A l’inverse j’ai préféré en premier plan opter pour des couleurs chaudes (rouge, orange, jaune). La personne en couleur illustre quelqu’un qui hésite à faire le premier pas vers les réseaux sociaux, mais qui n’est pas encore tombé dans le panneau.
De ce fait nous pouvons observer la différence entre les deux personnes. Les effets des réseaux sociaux sur l’une qui montre un chemin duquel on ne revient pas, alors que l’autre personne est tout à fait libre, emprisonnée en rien dans ce monde virtuel.
Affiche numéro 14 réalisée par x y
Descriptions : L’oiseau de Twitter a été redessiné, son regard et son bec ont été revus afin de donner à ce symbole des réseaux sociaux une attitude négative voire menaçante. Un oiseau symbolise d’habitude la liberté d’action et de mouvement.
Ici, il y a un contraste entre cette habituelle représentation et le fait qu’il traîne avec lui une cage qui renferme un homme. Les couleurs utilisées sont flashy hormis la cage qui est noire.
L’homme enfermé à l’intérieur est une représentation symbolique de l’humanité, de l’être humain en tant que tel. Il est représenté en rouge afin que l’on puisse facilement l’identifier, et comprendre qu’il est au cœur du sujet de l’affiche.
Aucun détail ne le compose, il s’agit d’une effigie, d’une silhouette : l’homme dans cette cage n’est plus que l’ombre de lui-même, il ne possède ni visage ni expression. Sa posture aurait pu être assise mais cela nuisait à la visibilité et donc à la compréhension du message.
En arrière-plan, il y a un dégradé de bleu foncé et de blanc. Le blanc est orienté en bas à gauche de l’affiche, le bleu foncé en haut à droite, dans la direction où l’oiseau se dirige. On comprend ici que la destination de l’oiseau est sombre et de mauvaise augure. Il y a une symbolique jour/nuit compréhensible par tous.
Le slogan reprend la syntaxe de Twitter qui veut mettre chaque mot de la langue française devant un dièse reconnaissable par tous les utilisateurs du réseau social. Le terme « Antisocial » fait comprendre à quel point les réseaux sociaux peuvent mal porter leur nom et produire l’effet contraire de celui recherché par les utilisateurs.
Affiche numéro 15 réalisée par Alice Cannard – Aline Luiggi – Carol Richards
Descriptions : La réalisation de ce projet se construit autour d’une horloge qui symbolise le déroulement d’une journée typique qui se répète en boucle, d’où la forme circulaire. Le cercle se décompose en quatre quarts – quatre moments de la journée – où l’on distingue une personne assise à la même place, devant un écran d’ordinateur.
Sur chaque photographie, on peut voir en second plan l’importance des réseaux sociaux dans la navigation sur Internet des jeunes d’aujourd’hui ; Facebook, Twitter, Instagram, ces trois réseaux constituent de nos jours la plus grande communauté virtuelle.
Il est également à noter que malgré le fait que ces réseaux soient mondialement connus et accessibles à tous, il n’en reste pas moins une source d’addiction. Aujourd’hui, la plupart des adolescents et jeunes adultes accordent une importance majoritaire à l’image qu’ils donnent d’eux sur Internet ; tout est filmé, publié et exposé à la vue de tous.
A force de vouloir contrôler cette image virtuelle, nous finissons par en oublier la réalité. De nombreuses personnes passent des journées entières sur Facebook ou encore sur Twitter à espionner la vie des autres. Outre le fait qu’il y ait une certaine dépendance à ces réseaux sociaux, ils sont également néfastes et malsains ; nous cherchons toujours à impressionner les autres et à être plus fort qu’eux.
Les quatre photographies encerclent un slogan – « Unsocial networks » - pour démontrer les dangers et dérives des réseaux sociaux aux travers de l’addiction qu’ils provoquent et à la tendance à être déconnectés de la réalité. A force de chercher des amis sur Internet, on finit par être seul.
Affiche numéro 16 réalisée par Delessalle
Descriptions : Avec cette image, j’ai voulu montrer que l’utilisation des réseaux sociaux sur Internet n’est pas dangereuse si l’on fait attention à ne pas dévoiler sa vie privée.
Toutefois, le risque est présent, et lorsque des informations personnelles sont publiées sur internet, les conséquences des ces publications ne s’effacent pas !
J’exprime par l’image et par la transparence des deux mains la notion de la protection et du risque à se dévoiler. Les conséquences peuvent être irréparable et persister définitivement comme l’illusion d’un tatouage sur ce visage.
Le message est clair, il fait appel au visuel couramment utilisé sur les réseaux sociaux et sensibilise les utilisateurs !
Affiche numéro 17 réalisée par Charline Normand - Camille Fossat - Sarah Fersi
Descriptions : Pour ce sujet nous voulions quelque chose d’authentique, sans acteurs ou modèles, on a toutes les trois pris des photographies de scènes quotidiennes chacune de notre côté.
Il s’agissait de scènes où l’on pouvait apercevoir des personnes constamment sur leur téléphone pour vérifier leurs notifications Facebook, tweeter, ou se balader sur Instagram , nous avons alors sélectionné une photographie parmi toutes celles que nous avions prises.
Nous avons opté pour cette photographie d’une mère et sa fille qui se trouvent côte à côte et ne se parle pas, car l’une est sur facebook, l’autre sur twitter . C’est aussi pour cela que nous avons choisi le slogan «C’est censé être un outil de communication.»
Affiche numéro 18 réalisée par Fabien Monniot - Guillaume Baechler
Descriptions : Afin de répondre du mieux possible aux problématiques portant sur les réseaux sociaux, nous avons voulu mettre en avant la passivité des internautes face aux dangers qui les menacent. À travers l'application " Snapchat ", qui permet de communiquer en envoyant des photos, nous avons réussi à trouver un compromis à plusieurs dangers et dérives qui nous animaient :
- L'impuissance des personnes par rapport à leurs erreurs sur les réseaux sociaux et l'incapacité de les effacer
- L'uniformisation des moyens de communications sous les réseaux sociaux et applications
- Le temps passé derrière les écrans
- Le temps perdu sur les réseaux sociaux
- Le fait de réduire les limites de sa vie privée
- Communiquer sa vie à énormément de personnes
- L'état passif des internautes, prendre en photo mais ne pas dénoncer
- Ne pas savoir qui est vraiment derrière l'écran, qui regarde, qui nous surveille
C'est pourquoi nous avons repris le logo de l'application, incrusté un œil au milieu (œil appuyant le fait d'être observé mais ne sachant pas par qui), et mis la phrase non moins célèbre : " Big Brother Is Watching YOU ".
Les couleurs respectent celles que l'on peut trouver sur l'interface de Snapchat pour un souci de vraisemblance et de compréhension. Les commentaires écrits de façon manuscrite nous accordent, dans un premier temps, un rappel à l'autorité (de par la ressemblance des commentaires que pourrait mettre un professeur sur une copie d'élève, le rappelant au droit chemin), et dans un second temps cela vient appuyer le contraste entre la réalité et le numérique, où l'écriture est encore personnelle, à la croisée des chemins avec le numérique où elle sort néanmoins des carcans de l'uniformisation des polices.
Affiche numéro 19 réalisée par
Descriptions : L’affiche est constituée d’une image coupée en deux. La partie droite est une personne normale et la partie gauche représente une personne dangereuse.
Cette image a un effet « peinture » pour souligner les couleurs du profil gauche et souligner la simplicité du profil droit. Elle est ronde pour symboliser le ying et le yang.
Le slogan est : Connaissez-vous les personnes qui se cachent derrière les réseaux sociaux ?
En effet, derrière une photo de profil ou de couverture, on ne peut pas connaître l’état mental d’une personne. Que son image soit positive ou négative au premier abord, personne ne peut savoir ce qui est bon ou mal.
La personne étrange aime juste se déguiser et la personne normale est au contraire, vraiment dangereuse.
Les réseaux sociaux ont conduit les utilisateurs à avoir des clichés sur une photo de profil. C’est un danger car des personnes peuvent être mal jugées : une personne peut être critiquée (attaque morale) ou une personne peut être dangereuse et s’approcher de victime facilement (attaque physique).
Les noms utilisés sont des références :
- Maxine Ginolin est la version féminine de Maxime Ginolin, artiviste français sous le pseudonyme de MagicJack. Le maquillage se rapproche du sien.
- Victoria Bayode est un mélange de Junior Bayode, garçon qui a tué avec ses seize amis Sofyen Belamouadden (par le biais de Facebook) et le nom de la station de métro de Londres (Victoria) où l’affaire à commencée. Ce fait divers date de mars 2010.
Affiche numéro 20 réalisée par Laura BERNABE - Mélissa BASSOMPIERRE - Anne-Sophie TERRIER
Descriptions : POUR CERTAINS C’EST JUSTE POUR RIRE
Ce slogan nous montre directement l’immaturité des harceleurs et donc leur irresponsabilité et leur méchanceté gratuite pour suivre un mouvement de foule. Le slogan à lui seul, amène un réel impact sur le sujet.
Le sujet global étant Les dangers et les dérives des réseaux sociaux, nous avons voulu traiter le domaine du cyber-harcèlement. Nous avons choisi ce thème car nous pensons que c’est une cause à défendre et qu’il s’agit d’un sujet qui touche de plus en plus de jeunes de nos jours.
Il est de notre devoir de dénoncer ces pratiques qui entrainent le mal-être intérieur de l’individu ainsi que sa désocialisation. La solitude, la dépression, le suicide sont des conséquences de ce cyber-harcèlement qui sont absolument à éviter, c’est pourquoi nous avons décidé de dénoncer tout cela à travers cette affiche.
Pour cette affiche, nous avons choisi d’utiliser la photographie. Nous avons pris deux photos, dont l’une qui a été détourée, pour créer l’aspect fantomatique de la photo. Cette dernière a été incrustée afin de représenter les harceleurs de la jeune fille. Cet aspect fantomatique nous montre que le harcèlement peut se manifester même chez elle. Ils sont toujours présents.
Les couleurs présentes dans cette affiche sont prioritairement le rouge et le noir. Le rouge représente le danger et le sang qui est relié au suicide. Le noir représente la tristesse, le mal-être, la dépression ainsi que la solitude.
Affiche numéro 21 réalisée par Lucas SERRA - Chloé ZANOTTI
Descriptions : L’idée première était de marquer, d’interpeler. Nous voulions faire une affiche qui attirerait le regard et qui serait sujette à discussion. Ainsi nous est venue l’idée en premier de « Zuckerberg m’a tuer », en référence à l’affaire « Omar m’a tuer », Zuckerberg étant le créateur de Facebook.
Le nom de Zuckerberg n’a pas été choisi au hasard : il a inventé un réseau social, le premier d’une longue lignée. Mais surtout le premier à demander et divulguer des informations très personnelles comme la date de naissance, la situation amoureuse ou encore l’orientation sexuelle…
Ce réseau social permet de publier des photos de nous, de ce que nous faisons, des endroits que nous visitons, ce qui a poussé certains à se moquer d’autres, au point où les moqués su suicident.
Toutes les personnes ne se suicident pas à cause de Facebook, mais à cause du cyberharcèlement. Mais Facebook est l’un des pionniers du mouvement…
Face à quelques reproches de la part de nos camarades, nous avons décidé de décliner l’affiche en trois différentes : chacune portant le nom d’un créateur de réseau social (Facebook, Twitter et Ask.fm).
Affiche numéro 22 réalisée par Paul ROCHE
Descriptions : Le but de cette affiche est de faire réfléchir sur les dérives qui peuvent rencontrer les personnes qui fréquentent les réseaux-sociaux, qu’ils en soient victimes ou témoin.
Trop souvent internet apparait comme une zone de non droit ou des comportements inacceptables sont ignorés ou même tolérés, c’est à chacun de nous d’agir pour lutter contre ces comportements afin d’y mettre un terme.
Nous avons travaillé en collaboration avec les élèves de l'IUT d'Arles pour réaliser des affiches sur le thème des dangers et dérives des réseaux sociaux.
Nous avons reçu de nombreuses propositions que vous trouverez ci-dessous
Un jury composé d'une vingtaine d'élus dont Monsieur Patrick CHAUVIN et Monsieur Marc CHABAUD, ont voté samedi 17 Octobre 2015 pour élire la meilleur affiche.
L'Affiche numéro 17 a remporté le concours :
l'Affiche numéro 22 termine seconde :
Nous tenons à remercier à nouveau Messieurs Lionel MALNIS et Michel NAVARRO du Crédit Mutuel, banque mutualiste solide, non cotée en bourse, qui appartient à ses sociétaires-clients et régulièrement récompensée d'avoir pu offrir de magnifiques dotations aux participants du concours !
Affiche numéro 1 réalisée par Fanny Ould Said - Marion Pasquet
Descriptions : ICI
Affiche numéro 2 réalisée par Antoine EL ODDI
Descriptions : Le fond d'écran représentant une jeune femme recroquevillée dans une pièce vide avec un très fin rayon de lumière permet d'accentuer une impression globalité.
Comme si la vie de la jeune femme se résumait à cette unique pièce.
Sa position quasi-fœtale évoque l'idée de peur, de tristesse et de recul.
À gauche de l'affiche se superpose un commentaire de Tumblr, Google+, Twitter et Facebook, des réseaux sociaux très répandus dans la toile d'Internet.
Chacun des commentaires insultent la jeune femme, avec froideur et cruauté. Ils la blessent, faisant ressortir des émotions pures et mauvaises.
Ainsi, en rouge et à droite des commentaires aberrants, la Peine, la Solitude, la Colère et la Douleur de la jeune femme saignent, comme arrachées d'elle, d'où l'écriture rouge.
Finalement, ses émotions se cumulent, se mélangent, pour donner naissance à une solution cachée dans la pénombre, d'où l'emplacement à droite sous la fenêtre et l'écriture noire, le Suicide.
Tout ceci fait référence aux nombreux cas de suicides sur le net, dû à des personnes qui, grâce à l'anonymat fourni par Internet, ont décidés d'insulter, et même de harceler plusieurs jeunes adolescents, des enfants, des parents, des professeurs ; et bien pire encore ; des handicapés.
Affiche numéro 3 réalisée par Lise BESSIERE, Lila GAZEAU, Tim LACOUR
Descriptions : A travers cette affiche, on a voulu représenter le vol de données et surtout la masse d’information que les jeunes mettent sur les réseaux sociaux. Permettant ainsi aux personnes mal intentionnées d’avoir accès à notre vie privée et à des informations beaucoup trop personnelles.
Nous avons voulu représenter un danger moins évoqué que le harcèlement sur les réseaux sociaux dans cette affiche, nous nous sommes donc concentrés sur le vol de données, qui peut s’avérer bien pire que du harcèlement. De nos jours, les gens ne font plus attention à ce qu’ils postent sur les réseaux sociaux (Adresse, date de naissance…) le but est donc de sensibiliser et de faire réfléchir les gens.
L’intrusion dans la vie privée et la diffusion de donnée sensible qui ne devrait pas sortir de l’entourage proche est un fléau particulièrement invisible. En effet, puisque nos données sont prises à notre insu, on ne les contrôle pas et quiconque ayant accès à ces données là peuvent s’en servir pour nous faire du mal.
On voit sur la photographie une jeune femme qui pense vivre en sécurité. Pourtant, les données portant sur elle qui ont filtrées sur le web par les réseaux sociaux permettent à un total inconnu d’être juste là, derrière elle, capable d’utiliser ces données à mauvais escient. Il y a comme un lien entre les deux protagonistes.
L’inconnu connaît la jeune femme comme s’il l’a connaissait, il peut peutêtre même lui prendre son identité… L’image laisse au lecteur de cette image la possibilité d’envisager tout un tas d’hypothèse quand à l’utilisation des données, de façon négative (en partie à cause de l’impression d’être surveillé à son insu que les photos dégagent)
Nous avons pris une photographie qui a pour but de montrer que quelqu’un même loin d’une personne, grâce à la quantité d’informations qu’elle peut laisser paraître sur internet suffit à un inconnu pour être très proche d’elle.
Affiche numéro 4 réalisée par Laëtitia SUAU
Descriptions : Ces dernières années, l’apparition des réseaux sociaux comme Tweeter, Badou, Skype, et Facebook, a connu de véritables succès auprès des internautes ; à tel point que ces réseaux communautaires sont devenus une véritable drogue pour les jeunes.
En effet, ces réseaux sociaux ont créé une sorte de dépendance pour les jeunes et, à force de s’y connecter plusieurs heures tous les jours, certains d’entre eux sont devenus de véritables cyber-drogués.
Cette nouvelle forme de cyberdépendance ou addiction à Internet peut entraîner des conséquences néfastes, aussi bien sur leur santé que sur leur vie sociale ; sans compter la perte de temps considérable et le coût que ce phénomène engendre.
C’est pourquoi j’ai créé cette affiche dans le but de sensibiliser la population contre la cyberdépendance.
La seringue étant le symbole de la drogue. La souris, elle, est l’outil nécessaire pour surfer sur ces nombreux réseaux.
J’ai choisi une police plus « destroy » pour les symptômes afin d’attirer l’attention dessus.
« Ensemble, luttons contre la cyberdépendance ! »
Affiche numéro 5 réalisée par Bazine Jennane
Descriptions : Afin de sensibiliser les personnes sur les dérives que peuvent causer les réseaux sociaux, nous avons décidé de réaliser une affiche préventive sur les conséquences que peuvent causer l’ignorance des dangers des réseaux sociaux.
Nous avons donc mis à gauche plusieurs mots clé qui nous montrent à première vue les différents avantages de l’utilisation des réseaux sociaux comme « partage » « communauté » ou encore « amitié ».
Puis nous avons également intégré plusieurs photos de personnes formant un visage.
Ceci à pour signification que derrière notre écran nous pouvons être qui l’on veut (c’est la raison du choix de notre message sur l’affiche : « Tout le monde peut être n’importe qui, soyez prudent sur les réseaux sociaux »).
Ensuite, afin d’illustrer le coté plus sombre des réseaux sociaux, nous avons mis à droite différents mots clé qui illustre ces dangers : « hacking » « menaces » « harcèlements » etc.
A travers cette affiche, nous voulons informer que la plupart des jeunes ne se soucient pas de qui se trouvent derrière l’écran (ex : sur Facebook les amis de leurs amis sont leur amis, ou sur Twitter des robots se font passer pour des personnes normal afin de collecter des données sensible), hors ils courent de grands dangers.
Nous voulons donc alerter les adolescents ainsi que les parents à ce méfié d’avantage de la puissance de ses réseaux.
Affiche numéro 6 réalisée par Julien FOURCADE
Descriptions : Pour la création de cette affiche, j’ai eu l’idée de traiter deux droits qui me semblent fondamentaux mais qui sont très difficiles à garantir sur Internet, et plus particulièrement sur les réseaux sociaux : le respect de la vie privée et le droit à l’oubli.
Afin d’illustrer l’utopie que représente pour moi le respect de la vie privée sur Internet, j’ai détourné la célèbre maxime (présente sur les affiches de propagandes) du roman 1984 de George Orwell : « Big Brother is watching you » en « Big Data is watching you ».
Big data étant un terme technique qui fait référence à l'explosion du volume des données générées et stockées sur Internet.
J’ai choisi un fond uni gris, une typographie bleu foncé moderne et minimaliste sans empattement, afin de contraster avec le fond clair et focaliser le spectateur sur le texte, et plus particulièrement le « YOU » plus gros et en gras.
Pour ce qui concerne le droit à l’oubli, j’ai choisi de me servir de Snapchat. En effet, ce réseau social relativement récent fait un carton chez les jeunes : l'âge moyen des utilisateurs de Snapchat est 18 ans, contre 40 ans pour Facebook.
Le principe est simple : il permet d’envoyer des textos, photos et vidéos intimes ou délirantes en toute discrétion. En effet, tout ce qui est envoyé disparaît au bout de quelques secondes… En Théorie du moins !
J’ai décidé d’utiliser une photo (dont je suis l’auteur), cadrée dans une forme représentant le logo de Snapchat (un fantôme), et en utilisant les codes graphiques du réseau social : un bandeau noir contenant du texte (ici l’idée qu’Internet n’oublie rien), et un timer représentant le temps restant avant la suppression du message
(j’ai remplacé la durée par le symbole de l’infini, afin de renforcer le texte du bandeau et l’idée que le droit à l’oubli sur les réseaux sociaux n’existe quasiment pas).
D’un point de vu général, j’ai essayé d’utiliser un design moderne et en vogue actuellement (minimalisme, flat design et long shadow) afin d’attirer l’oeil des jeunes, cible principale de mon affiche de sensibilisation.
Affiche numéro 7 réalisée par Kevin Hippolyte – Tom Venet – Laurie Greinert
Descriptions : Nous avons créé une image qui répond au sujet des dangers et dérives des réseaux sociaux. Nous avons dès le début eu une idée commune qui était le fait que lorsque nous étions sur ces réseaux sociaux, nous étions surveillés.
Nous avons donc voulu représenter une personne qui était en train de naviguer sur un de ces sites et de mettre cette image sur un écran d’ordinateur d’une autre personne qui le surveille. Nous avons pris une copie d’écran d’une page d’un réseau social connu, Facebook. Nous avons mis par-dessus une photo de la personne qui était en train de regarder sa page en changeant l’opacité.
Puis nous avons ajouté des calques de sorte à ce que l’on ait l’impression que cette image est « surveillée » et nous l’avons ajouté à notre fond. En faisant cela nous avons voulu montrer que nous n’avons pas vraiment de vie privée, tout ce que l’on écrit sur internet peut être retrouvé par n’importe qui, et cela peut aller à notre encontre dans les années à venir.
C’est pour cela qu’il faut faire attention à ce que l’on dévoile car d’après les récentes polémiques nous sommes tout le temps surveillés.
Affiche numéro 8 réalisée par Lorène HUE
Descriptions : Les trois principaux réseaux sociaux sont ici représenter en trois personnages : Facebook au centre ayant la première place, Google + à gauche (3e place), et Twitter à Droite (2e place). Les recettes des réseaux sociaux sont générer grâce aux publicités, mais également grâce aux données des utilisateurs.
Plus le réseau social compte d’utilisateurs, plus celui-ci gagnera d’argent en revendant les données. Chaque utilisateur supplémentaire permet de gagner un peu plus d’argent. Lorsqu’une personne s’inscrit sur un réseau social, elle fournit obligatoire et gratuitement ses données personnelles : tel que ses goûts, son âge, et ce qu’elle est susceptible de consommer.
Nos trois personnages sont devant la représentation d’un futur proche et probable, ou ils auront entièrement conquis les populations.
Ce tableau est donc la représentation d’un riche futur pour les réseaux sociaux. Ou tout le monde possèdera un ou plusieurs comptes sur un/ou plusieurs réseaux sociaux. Et où chaque heure du quotidien sera sur ces sites. Même en pleine rue.
Le tableau représentant le futur est divisé en deux grandes parties. Le premier plan, et les décors derrière. Le tout en pixel art 2D.
La foule est ici obnubiler par l’écran géant installé sur une façade vitrée. Ils parlent et commentent ce qu’il se passe sur l’écran. Ils ne voient pas ce qu’il se déroule autour d’eux, et sont totalement accros. L’une des bulles de pensées est vide, pour représenter le fait qu’ils agissent sans réfléchir. Certains disent qu’ils aiment, et d’autres « Like » ce qu’il se déroule devant leurs yeux sur l’écran.
L’écran est branché en plein cœur de la ville, et permet à la foule de consulté les informations du réseau social. Ils peuvent voir les derniers messages mit en ligne, ainsi qu’une publicité pour Twitter, Youtube (qui appartient à Google) et Facebook.
Sur les immeubles derrière l’écran géant, des méga-bannières de publicités pour l’application Snapchat et un nouvel Iphone d’Apple sont présentes, et renforcent la présence des réseaux sociaux, et de la technologie dans le quotidien.
Affiche numéro 9 réalisée par Florentine LAMAIRE - Lucie IKHENNICHEU
Descriptions : Aujourd’hui de nombreuses personnes gâchent des temps précieux sur les réseaux sociaux.
Certes, ils permettent de rester connecté avec vos amis, avec ceux que vous aimez, de partager des images, des coups de coeurs, et cela en permanence, mais ils peuvent facilement devenir un obstacle à la vie.
A travers cette affiche, nous avons voulu représenter les conséquences sociales que peuvent provoquer les réseaux sociaux, car en passant trop de temps dessus, on se retrouve à négliger la réalité.
L’image des deux personnages est symbolique et illustre un moment qui peut paraître anodin, se balader en se tenant la main, mais qui se retrouve gâché par les réseaux sociaux, qui ne laissent aucun répit à ses utilisateurs fréquents, à cause des alertes, des messages, notifications.
On a de plus en plus de mal à prendre conscience que la réalité n’est pas virtuelle. On se laisse facilement subjuguer par nos écrans, et à cause de l’évolution et la banalisation des technologies, on en oublie de profiter des moments de réel bonheur qui s’offrent à nous.
Les personnes naviguent sur les réseaux sociaux pour se sentir connecter avec d’autres, mais au final elles ne le sont plus avec leur entourage.
Les réseaux sociaux sont à parcourir avec modération.
Affiche numéro 10 réalisée par Logan PETIT – William SOURIMANT – Alexia LEGROS
Descriptions : Nous avons choisi d’illustrer ce thème avec une représentation intemporelle : celui de l’inconnu qui surveille les actions de l’internaute.
Nous avons choisi plusieurs moyens de représentation pour cette affiche, se déclinant en quatre cas de figure : celui de l’utilisation des réseaux sociaux sur tablette, téléphone, ordinateur de bureau et portable.
Nous avons également représenté des internautes féminins et masculins dans un souci d’équité. Les silhouettes sont simplistes, et évoquent le fait que tout le monde peut être concerné par les dangers des réseaux sociaux de nos jours.
Affiche numéro 11 réalisée par Sandro NARDINI
Descriptions : Le but de cette affiche était de sensibiliser les gens aux jeux vidéo. Je n’avais pas trop d’idée a la base alors moi-même étant un joueur numérique, j’ai écouté beaucoup d’histoire de mon entourage de personne complètement dépendant de ce jeux.
Cette dépendance peut se traduire en 2 sortes de suite pour ces joueurs. La première et qu’ils sont aspiré par la frénésie du jeu et ne veulent plus s’arrêter dans le but, surement, de ressentir un besoin d’accomplissement personnel.
La seconde nécessite toujours cette frénésie mais auquel s’ajoute un don qui permettra à ce joueur de pouvoir explosé dans son domaine et devenir un joueur professionnel rémunéré.
Attention, cela n’arrives qu’avec beaucoup d’entrainements... Mais un jeu n’est pas forcément joué pour être le meilleur mais pour se divertir.
Bien entendu le jeu vidéo reste une source de divertissement intergénérationnelle. On peut y jouer sans faire forcement de compétition mais le plus dure c’est de na pas tombé dans cette spirale infernale qui vous fera perdre vos nerf un après l’autre.
Affiche numéro 12 réalisée par Portal - Jury
Descriptions : Pour répondre au sujet qui nous était imposé: «montrer les dangers des réseaux sociaux»,nous avons choisi de traiter de l'addiction à ces mêmes réseaux et par extension au téléphone portable.
Pour cela nous avons décidé de montré la main d'un homme enchaîne à son smartphone sur lequel on peut voir les logos des réseaux sociaux les plus connus.
C'était selon nous la meilleure façon de dénoncer l'emprise des réseaux sociaux sur la vie des gens et des jeunes en particulier.
Affiche numéro 13 réalisée par Robin AUDRAS
Descriptions : Pour le thème « danger et dérive des réseaux sociaux », j’ai choisis d’illustrer une route sans fin. En rajoutant des panneaux de sens unique et de voie sans issues, je voulais mettre en avant le fait que les réseaux sociaux sont une aventure à sens unique.
De plus nous pouvons voir que le fond du paysage est en noir et blanc, pour donner une image fade, triste, voire dangereuse que peut avoir les réseaux sociaux. C’est pourquoi une personne qui essaye d’en revenir est elle aussi devenue noire et blanche à l’image de ces réseaux sociaux.
A l’inverse j’ai préféré en premier plan opter pour des couleurs chaudes (rouge, orange, jaune). La personne en couleur illustre quelqu’un qui hésite à faire le premier pas vers les réseaux sociaux, mais qui n’est pas encore tombé dans le panneau.
De ce fait nous pouvons observer la différence entre les deux personnes. Les effets des réseaux sociaux sur l’une qui montre un chemin duquel on ne revient pas, alors que l’autre personne est tout à fait libre, emprisonnée en rien dans ce monde virtuel.
Affiche numéro 14 réalisée par x y
Descriptions : L’oiseau de Twitter a été redessiné, son regard et son bec ont été revus afin de donner à ce symbole des réseaux sociaux une attitude négative voire menaçante. Un oiseau symbolise d’habitude la liberté d’action et de mouvement.
Ici, il y a un contraste entre cette habituelle représentation et le fait qu’il traîne avec lui une cage qui renferme un homme. Les couleurs utilisées sont flashy hormis la cage qui est noire.
L’homme enfermé à l’intérieur est une représentation symbolique de l’humanité, de l’être humain en tant que tel. Il est représenté en rouge afin que l’on puisse facilement l’identifier, et comprendre qu’il est au cœur du sujet de l’affiche.
Aucun détail ne le compose, il s’agit d’une effigie, d’une silhouette : l’homme dans cette cage n’est plus que l’ombre de lui-même, il ne possède ni visage ni expression. Sa posture aurait pu être assise mais cela nuisait à la visibilité et donc à la compréhension du message.
En arrière-plan, il y a un dégradé de bleu foncé et de blanc. Le blanc est orienté en bas à gauche de l’affiche, le bleu foncé en haut à droite, dans la direction où l’oiseau se dirige. On comprend ici que la destination de l’oiseau est sombre et de mauvaise augure. Il y a une symbolique jour/nuit compréhensible par tous.
Le slogan reprend la syntaxe de Twitter qui veut mettre chaque mot de la langue française devant un dièse reconnaissable par tous les utilisateurs du réseau social. Le terme « Antisocial » fait comprendre à quel point les réseaux sociaux peuvent mal porter leur nom et produire l’effet contraire de celui recherché par les utilisateurs.
Affiche numéro 15 réalisée par Alice Cannard – Aline Luiggi – Carol Richards
Descriptions : La réalisation de ce projet se construit autour d’une horloge qui symbolise le déroulement d’une journée typique qui se répète en boucle, d’où la forme circulaire. Le cercle se décompose en quatre quarts – quatre moments de la journée – où l’on distingue une personne assise à la même place, devant un écran d’ordinateur.
Sur chaque photographie, on peut voir en second plan l’importance des réseaux sociaux dans la navigation sur Internet des jeunes d’aujourd’hui ; Facebook, Twitter, Instagram, ces trois réseaux constituent de nos jours la plus grande communauté virtuelle.
Il est également à noter que malgré le fait que ces réseaux soient mondialement connus et accessibles à tous, il n’en reste pas moins une source d’addiction. Aujourd’hui, la plupart des adolescents et jeunes adultes accordent une importance majoritaire à l’image qu’ils donnent d’eux sur Internet ; tout est filmé, publié et exposé à la vue de tous.
A force de vouloir contrôler cette image virtuelle, nous finissons par en oublier la réalité. De nombreuses personnes passent des journées entières sur Facebook ou encore sur Twitter à espionner la vie des autres. Outre le fait qu’il y ait une certaine dépendance à ces réseaux sociaux, ils sont également néfastes et malsains ; nous cherchons toujours à impressionner les autres et à être plus fort qu’eux.
Les quatre photographies encerclent un slogan – « Unsocial networks » - pour démontrer les dangers et dérives des réseaux sociaux aux travers de l’addiction qu’ils provoquent et à la tendance à être déconnectés de la réalité. A force de chercher des amis sur Internet, on finit par être seul.
Affiche numéro 16 réalisée par Delessalle
Descriptions : Avec cette image, j’ai voulu montrer que l’utilisation des réseaux sociaux sur Internet n’est pas dangereuse si l’on fait attention à ne pas dévoiler sa vie privée.
Toutefois, le risque est présent, et lorsque des informations personnelles sont publiées sur internet, les conséquences des ces publications ne s’effacent pas !
J’exprime par l’image et par la transparence des deux mains la notion de la protection et du risque à se dévoiler. Les conséquences peuvent être irréparable et persister définitivement comme l’illusion d’un tatouage sur ce visage.
Le message est clair, il fait appel au visuel couramment utilisé sur les réseaux sociaux et sensibilise les utilisateurs !
Affiche numéro 17 réalisée par Charline Normand - Camille Fossat - Sarah Fersi
Descriptions : Pour ce sujet nous voulions quelque chose d’authentique, sans acteurs ou modèles, on a toutes les trois pris des photographies de scènes quotidiennes chacune de notre côté.
Il s’agissait de scènes où l’on pouvait apercevoir des personnes constamment sur leur téléphone pour vérifier leurs notifications Facebook, tweeter, ou se balader sur Instagram , nous avons alors sélectionné une photographie parmi toutes celles que nous avions prises.
Nous avons opté pour cette photographie d’une mère et sa fille qui se trouvent côte à côte et ne se parle pas, car l’une est sur facebook, l’autre sur twitter . C’est aussi pour cela que nous avons choisi le slogan «C’est censé être un outil de communication.»
Affiche numéro 18 réalisée par Fabien Monniot - Guillaume Baechler
Descriptions : Afin de répondre du mieux possible aux problématiques portant sur les réseaux sociaux, nous avons voulu mettre en avant la passivité des internautes face aux dangers qui les menacent. À travers l'application " Snapchat ", qui permet de communiquer en envoyant des photos, nous avons réussi à trouver un compromis à plusieurs dangers et dérives qui nous animaient :
- L'impuissance des personnes par rapport à leurs erreurs sur les réseaux sociaux et l'incapacité de les effacer
- L'uniformisation des moyens de communications sous les réseaux sociaux et applications
- Le temps passé derrière les écrans
- Le temps perdu sur les réseaux sociaux
- Le fait de réduire les limites de sa vie privée
- Communiquer sa vie à énormément de personnes
- L'état passif des internautes, prendre en photo mais ne pas dénoncer
- Ne pas savoir qui est vraiment derrière l'écran, qui regarde, qui nous surveille
C'est pourquoi nous avons repris le logo de l'application, incrusté un œil au milieu (œil appuyant le fait d'être observé mais ne sachant pas par qui), et mis la phrase non moins célèbre : " Big Brother Is Watching YOU ".
Les couleurs respectent celles que l'on peut trouver sur l'interface de Snapchat pour un souci de vraisemblance et de compréhension. Les commentaires écrits de façon manuscrite nous accordent, dans un premier temps, un rappel à l'autorité (de par la ressemblance des commentaires que pourrait mettre un professeur sur une copie d'élève, le rappelant au droit chemin), et dans un second temps cela vient appuyer le contraste entre la réalité et le numérique, où l'écriture est encore personnelle, à la croisée des chemins avec le numérique où elle sort néanmoins des carcans de l'uniformisation des polices.
Affiche numéro 19 réalisée par
Descriptions : L’affiche est constituée d’une image coupée en deux. La partie droite est une personne normale et la partie gauche représente une personne dangereuse.
Cette image a un effet « peinture » pour souligner les couleurs du profil gauche et souligner la simplicité du profil droit. Elle est ronde pour symboliser le ying et le yang.
Le slogan est : Connaissez-vous les personnes qui se cachent derrière les réseaux sociaux ?
En effet, derrière une photo de profil ou de couverture, on ne peut pas connaître l’état mental d’une personne. Que son image soit positive ou négative au premier abord, personne ne peut savoir ce qui est bon ou mal.
La personne étrange aime juste se déguiser et la personne normale est au contraire, vraiment dangereuse.
Les réseaux sociaux ont conduit les utilisateurs à avoir des clichés sur une photo de profil. C’est un danger car des personnes peuvent être mal jugées : une personne peut être critiquée (attaque morale) ou une personne peut être dangereuse et s’approcher de victime facilement (attaque physique).
Les noms utilisés sont des références :
- Maxine Ginolin est la version féminine de Maxime Ginolin, artiviste français sous le pseudonyme de MagicJack. Le maquillage se rapproche du sien.
- Victoria Bayode est un mélange de Junior Bayode, garçon qui a tué avec ses seize amis Sofyen Belamouadden (par le biais de Facebook) et le nom de la station de métro de Londres (Victoria) où l’affaire à commencée. Ce fait divers date de mars 2010.
Affiche numéro 20 réalisée par Laura BERNABE - Mélissa BASSOMPIERRE - Anne-Sophie TERRIER
Descriptions : POUR CERTAINS C’EST JUSTE POUR RIRE
Ce slogan nous montre directement l’immaturité des harceleurs et donc leur irresponsabilité et leur méchanceté gratuite pour suivre un mouvement de foule. Le slogan à lui seul, amène un réel impact sur le sujet.
Le sujet global étant Les dangers et les dérives des réseaux sociaux, nous avons voulu traiter le domaine du cyber-harcèlement. Nous avons choisi ce thème car nous pensons que c’est une cause à défendre et qu’il s’agit d’un sujet qui touche de plus en plus de jeunes de nos jours.
Il est de notre devoir de dénoncer ces pratiques qui entrainent le mal-être intérieur de l’individu ainsi que sa désocialisation. La solitude, la dépression, le suicide sont des conséquences de ce cyber-harcèlement qui sont absolument à éviter, c’est pourquoi nous avons décidé de dénoncer tout cela à travers cette affiche.
Pour cette affiche, nous avons choisi d’utiliser la photographie. Nous avons pris deux photos, dont l’une qui a été détourée, pour créer l’aspect fantomatique de la photo. Cette dernière a été incrustée afin de représenter les harceleurs de la jeune fille. Cet aspect fantomatique nous montre que le harcèlement peut se manifester même chez elle. Ils sont toujours présents.
Les couleurs présentes dans cette affiche sont prioritairement le rouge et le noir. Le rouge représente le danger et le sang qui est relié au suicide. Le noir représente la tristesse, le mal-être, la dépression ainsi que la solitude.
Affiche numéro 21 réalisée par Lucas SERRA - Chloé ZANOTTI
Descriptions : L’idée première était de marquer, d’interpeler. Nous voulions faire une affiche qui attirerait le regard et qui serait sujette à discussion. Ainsi nous est venue l’idée en premier de « Zuckerberg m’a tuer », en référence à l’affaire « Omar m’a tuer », Zuckerberg étant le créateur de Facebook.
Le nom de Zuckerberg n’a pas été choisi au hasard : il a inventé un réseau social, le premier d’une longue lignée. Mais surtout le premier à demander et divulguer des informations très personnelles comme la date de naissance, la situation amoureuse ou encore l’orientation sexuelle…
Ce réseau social permet de publier des photos de nous, de ce que nous faisons, des endroits que nous visitons, ce qui a poussé certains à se moquer d’autres, au point où les moqués su suicident.
Toutes les personnes ne se suicident pas à cause de Facebook, mais à cause du cyberharcèlement. Mais Facebook est l’un des pionniers du mouvement…
Face à quelques reproches de la part de nos camarades, nous avons décidé de décliner l’affiche en trois différentes : chacune portant le nom d’un créateur de réseau social (Facebook, Twitter et Ask.fm).
Affiche numéro 22 réalisée par Paul ROCHE
Descriptions : Le but de cette affiche est de faire réfléchir sur les dérives qui peuvent rencontrer les personnes qui fréquentent les réseaux-sociaux, qu’ils en soient victimes ou témoin.
Trop souvent internet apparait comme une zone de non droit ou des comportements inacceptables sont ignorés ou même tolérés, c’est à chacun de nous d’agir pour lutter contre ces comportements afin d’y mettre un terme.